Ainsi donc, nous devrions baisser nos drapeaux rouges ! Drapeau rouge, "rouge du sang de l'ouvrier"...
La lutte des classes n'est donc pas morte car c'est le Président de la République garant de la cohésion nationale, qui l'affirme dans sa course effrénée vers le pouvoir en tant que candidat au renouvellement de sa fonction.
Ainsi donc, le président candidat qui le 16 mai 2007,qui exaltait le jeune militant communiste Guy Môquet, fusillé à Chateaubriand le 22 octobre 1941, brûle ce qu'il a feint d'adorer au début de son quinquennat...
Menteur, manipulateur, révisionniste de l'histoire...quel triste bilan pour le plus haut personnage de l’État...Mon drapeau rouge, j'en suis fier ! J'en suis fier, car je continue à le brandir pour témoigner du combat de nos anciens et pour dire que leurs combats sont toujours les nôtres...Je suis fier de le brandir pour dire aux plus jeunes que l'utopie se pare toujours des couleurs rouges de l'indignation, de la révolte, de la résistance, de la révolution...
Mon drapeau rouge, c'est aussi ce qui fait partie des valeurs fondamentales qui cimentent notre République...
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